b0a.jpg Fin octobre, les températures baissent de plus en plus.
On allume un petit feu pour réchauffer l'atmosphère et on rentre les plantes grasses gélives dans la serre. Elles ont bien profité de l'été, ne craignant pas la sécheresse. Comme la serre est hors gel, elle passeront l'hiver à l'abri et repartiront dehors au printemps.


Bien sûr, il faut faire un peu de place, ne serait-ce que pour le passage.


Ah mais, ça ne va pas du tout ! les philo se sont tellement développés depuis 4 ans qu'ils bloquent la fenêtre de la salle de bain et cette dernière en devient toute sombre.
bassins.jpg Remarquez qu'en 2007 on n'avait pas encore le Philodendron bipinnatifidum. Le Monstera deliciosa était fort petit, mais en fait il a plus de 30 ans, on l'avait à Paris ! il a survécu aux déménagements et autres mauvais traitements.
Il faut déplacer le philo du bas dans le bassin le plus haut afin de libérer le bas de la fenêtre, et écarter les deux branches de celui du haut.
Le déplacement ne va pas sans mal, car le bestiaux tout riquiqui quand on nous l'a donné, a beaucoup aimé l'environnement, a envoyé des racines un peu partout, d'ailleurs en regardant attentivement la photo de 2011 un peu plus haut, on voit une racine qui longe le mur de la maison, juste au dessus des murs du bassin, et s'est glissée délicatement sous la porte d'entrée !

b1.jpg
Les misères nombreuses et variées (leurs noms ? : lien vers les misères de la serre) renforcent l'impression de jungle sombre, regardez le pauvre perroquet, il ne voit plus rien !
b2.jpg







On arrache les misères, on essaye de déplacer, mais les racines, ouh lala !


Normalement, le philo devrait ne pas apprécier, mais sans plus.


Et voilà le résultat après quelques heures de travail : b3.jpg b4.jpg


Le perroquet (et la fenêtre) retrouvent la lumière.






Pour ceux et celles que ça intéresse : Les photos de l'histoire de la serre